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LOUGBOUTOU WELI: Elégie Funèbre

  • Photo du rédacteur: Dr Diahou
    Dr Diahou
  • 27 sept. 2015
  • 1 min de lecture


Abogny Larissa

EN UN LOUGBOUTOU WELI (Elégie) FUNEBRE, EN GUISE D'ACCOMPAGNEMENT DE Gabello Ottéhiri, MON GNOANTRE (Celui avec qui j'ai destin scellé)

"Le son du cor a retenti. Les Oracles avaient prédit! Les choses de la nuit; (Naguère, Avant la guerre) Doivent être à minuit, Quand les enfants dorment. Hélas, entre les mains d'enfants d'hommes, Il a été remis des choses d'ombres. Des choses qui brûlent, Des choses sans nombres, Des choses microbiennement contagieuses, Des choses pas un brin pieuses!

Abogny Larissa, Il fait froid en cette nuit. Un froid noir...

Gabello Ottéhiri le Gnoantré l'a dit: Ta vie, scellée en mille sérénades, S'est figée en un point d'orgue. Abogny Larissa, Il fait froid depuis cette nuit. Cette nuit où tu es devenue Nadreh de Ato Lago!

Larissa. Ô Larissa Ô Enfant de notre peuple A genoux...

Va en Paix Larissa. Va..."

- Dr Diahou - Texte inédit, Tous droits réservés. © Vendredi 14 Aout 2015,14:14

 
 
 

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